JAYDEN VANDERWOOD

NOM : Vanderwood. PRENOM : Jayden Mikhail. ÂGE : 28 ans. PROFESSION/ETUDES : Avocat, même s'il ne rêvait pas de ce genre de métiers lorsqu'il était gamin. Non, lui, il voulait être comme superman, alors sur son temps libre, il est pompier volontaire. ORIGINES : Russe. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel, il aime les femmes et leurs courbes attractives. STATUT CIVIL : Célibataire. CARACTÈRE : intelligent, moqueur, sarcastique, jaloux, possessif, protecteur, charmeur, mélomane, déterminé, caractériel, serviable, bosseur, menteur, secret, parfois direct, sûr de lui, réfléchi/impulsif, courageux, petit con, rêveur, ... GROUPE : How I Met Your Mother. AVATAR : Ed Westwick. CREDITS : tonsofgifs.tumblr.

▬ Pour toi, la famille représente quoi ? La famille ? C'est quelque chose d'important, de greffé dans chaque cellule de son corps. Quelque chose de compliqué également, qui s'explique par un seul nom : Anton Vanderwood, son paternel. Celui auquel on ne réplique pas, qui a toujours voulu voir ses enfants suivre ses pas, et qui a semblé amèrement déçu par l'attitude de son aîné. Alors, naturellement, Jayden a suivi le tracé si précis du droit, du judiciaire avec pour seul costume que le costard cravate, alors qu'il rêvait à autre chose. Pourtant, sa famille est importante, il aime son ainé malgré l’ambivalence de ce qu'il lui inspire. Celui qui s'avère être une sorte de garde-fou pour Jay... comme si décider de suivre une autre voie professionnelle, le conduirait forcément vers le contraire de ce qu'il souhaiterait être. Il partage un lien particulier avec son jumeau, bien que faux si l'on en croit leur différence de traits. Pourtant, tout en étant différents, ils sont proches, confidents, se comprennent à demi-mot, sont même capables de finir la phrase de l'autre. Mais chacun vit sa vie. Ils ont des liens en commun, mais rien ne les a jamais empêché d'en avoir d'autres. Et puis il y a la petite sœur, la dernière née. Jay ne peut s'empêcher d'être protecteur avec elle, même si Josh est bien plus envahissant que lui, qui semble finalement plus espiègle que droit dans ses bottes. Il faut dire que Jay dénote parfois à sa manière parmi les autres avocats de la famille. Mais la famille ne contient pas que ces membres, il y a les oncles, les cousin(e)s, les tantes, ... Les Vanderwood sont différents, mais liés d'une manière ou d'une autre. Appelez-ça les liens du sang russe, mais il n'en reste pas moins que Jay y accorde énormément d'importance.
▬ Les amis, sont une seconde famille selon toi ? Il ne saurait se passer de ses amis, qui sont effectivement comme une seconde famille. Ils sont ceux qui partagent avec lui d'autres facettes de sa personnalité, des proches, avec il partagera autant des soirées que des coups de gueule. Ils sont proches, potes, et on en passe. Jay, pour lui, ses amis sont également une famille, différente de celle du sang, mais qui a tout de même une importance qui compte. Un appel en pleine nuit ? Il bougonnera peut-être, mais il l'enfilera ce pantalon et cette chemise avant de grimper dans sa voiture pour en rejoindre un en cas de soucis.

ON A TOUS UNE HISTOIRE

Jay, quand il était petit, il rêvait de sauver le monde, d'être un super héro. Il n'était pas rare qu'il rende gracieusement service, qu'il grimpe pour aller récupérer un chat coincé, ou qu'il aide une vieille dame à traverser la route. ✜ En grandissant, il a vu son ainé dévier bien trop de la voie désirée par leur père, et c'est ainsi qu'il a décidé de ne pas le faire lui-même, comme si c'était la seule chose qui pourrait le préserver de sombrer du mauvais côté de la force. Il ne veut surtout pas ressembler à Leonid. ✜ Néanmoins, il a pourtant garder un pied dans son rêve de gosse, en étant pompier volontaire en dehors de ses heures de travail. Il aime prendre ces risques, sentir l'adrénaline divaguer dans chaque parcelle de son corps, la passion pour ces instants qui le submergent. Il est courageux, Jay. Et il a besoin de sentir qu'il fait vraiment quelque chose pour les autres.  ✜ Le comble pour un pompier volontaire ? Il fume. Complètement addict à la nicotine, il ne cherche même pas à se défaire de cette addiction. ✜ Il boit à l'occasion, il aime faire la fête, mais ne touche pas à la drogue. Sans doute est-ce le fait que son ainé trempe là-dedans. ✜ Contrairement à son frère jumeau, Jay est loin d'avoir su se poser dans une relation stable. Au contraire, il cumule les histoires épisodiques, et sa famille ne compte plus les petites amies du moment qu'il a ramenées à telle ou telle fête/rassemblement de famille. Il sait bien que sa mère aimerait bien le voir se poser, mais Jay... allez savoir, peut-être qu'il n'a simplement pas rencontré la bonne. ✜ Un peu mélomane à ses heures perdues, il joue de la musique (piano et guitare). Gratter sa guitare l'aide d'ailleurs à se détendre et à réfléchir. ✜ Avocat. Parce qu'il fallait bien finir par y arriver à ce métier où, bizarrement, il excelle. Intelligent, rusé, direct... il sait déstabiliser autant que mettre en confiance par son charme. Il s'est dirigé vers le droit des affaires, les histoires de famille ne l'intéressant pas vraiment. Il s'occupe d'ailleurs du droit à l'image de sa cousine, Hope. On dit que les affaires et la famille ne font pas bon ménage, mais c'était avant de les rencontrer, sans aucun doute. ✜ Malgré tout, c'est un rêveur, un idéaliste... qui sait juger les êtres facilement, peut-être parfois un peu trop vite pour percevoir en eux leurs bons côtés. Mais il n'en reste pas moins, que s'il l'avait pu, c'est le monde qu'il aurait voulu révolutionner, sauver. Il est loin d'être naïf, mais il rêve, sans doute une conséquence de son côté artiste. ✜ On pourrait croire que c'est quelqu'un de bien. Et il l'est, sans aucun doute. Sauf que parfois c'est clairement un petit con... transpirant l'immaturité, ce qui peut surprendre, quand on voit le reste de son caractère. Mais voilà, parfois, il n'est pas parfait... et il est bien loin de l'être, croyez-le.

TOI, DERRIÈRE L'ECRAN

Pseudo sur le net
Sur internet, mon pseudo est spf, parce que j'en ai pas vraiment. Dans la vie réelle, j'ai l'âge de Dracula, parce que je suis plus que majeure Comment avez-vous connu le forum ? une pub. Avez-vous autre chose à évoquer concernant le forum ? j'aiiiimmmmeeeee. Sur le forum, mon activité sera de ça dépend de l'IRL. Je bosse, je sors... mais je dirais un minimum d'une à deux réponses par semaine. Mon personnage est un pré-lien, je squatte la famille Vanderwood, mais le personnage en lui-même sort intégralement de ma tête.

ON A TOUS UNE HISTOIRE

« Félicitation Vanderwood ! » Le timbre taquin, comme s'il s'agissait là d'un vague match de basket joué entre potes sur un terrain trop éloigné des officiels. Sauf que nous nous trouvions dans les couloirs de la cour de justice, et que je venais de remporter une nouvelle affaire. Il fallait bien le reconnaître que malgré mon jeune âge, on savait que j'avais du talent, que j'étais bien le fils de mon père lorsque j'entrais dans un tribunal. Malgré tout, je restais moi, et lorsque je quittais cet univers, je savais retrouver les désirs plus libertins de l'insaisissable justicier manqué que j'étais. Malgré tout, la poignée de mains que nous échangions n'avaient rien de belliqueuse, bien au contraire. Un sourire naquit sur mes lèvres avec naturel, tandis qu'un éclat moqueur venait teinter mes iris. « Toi aussi tu gagneras un jour. Enfin pas contre moi. » Le sarcasme qui dérida mes lèvres... Il aurait pu mal le prendre, mais nous nous connaissions depuis trop longtemps pour cela vienne perturber nos échanges. Il s’esclaffa, plus amusé qu'autre chose par mon assurance. « Si tu veux un conseil, ne sois pas trop sûr de toi. C'est comme ça qu'on finit par se planter. » Là, ce fut à mon tour d'éclater de rire, amusé par sa répartie. Je l'appréciais, et pour cause, je le connaissais depuis que je n'étais qu'un gamin. Sauf que lui avait toujours lorgné sur le droit, alors que dans mon cas, les paris auraient mérité un excellent suspens sur l'issue de ma destinée. Sans doute que sans Leonid, j'aurais dévié définitivement vers une carrière moins glorieuse financièrement en tant que pompier, plutôt que de ne l'être que de manière volontaire sur mon temps libre. Mais il y avait mon ainé, si différent des autres membres de la famille. Je n'avais pas voulu l'être également. Peut-être que c'était une sorte de vieille superstition débile, mais j'avais l'impression que si je déviais du schéma paternel, je ferais exactement les mêmes conneries que lui. Et je ne le voulais pas. Ni hier. Ni aujourd'hui.

Instinctivement, comme à chaque fois que j'étais habillé pour plaider, je menai ma main à ma cravate pour la desserrer. Geste machinal que je me trainais, tout comme mon autre main qui s'égara dans la poche de ma veste pour en extirper clope et feu alors que je me tenais sur les escaliers extérieurs. Les journalistes étaient partis. Plus personne ne faisait attention à moi, si ce n'était cet ami, ce rival, contre lequel j'adorais plaider. D'un geste machinal je lui tendis mon paquet, le voyant rejeter l'offre alors que de mon côté, je n'hésitai pas à m'intoxiquer. On ne fume pas sur les lieux publics. Je m'en fichais comme de ma dernière chemise. Enfin, ici, c'était autorisé, même si je n'aurais pas hésité à aller à l'encontre de celle-ci sans le moindre remord. « Il n'y a que les envieux qui parlent comme toi, tu sais ? » fis-je remarquer sans lui lancer l'ombre d'un regard, le mien s'attardant déjà sur la silhouette qui me souriait au loin. Un raclement de gorge, un geste d'embarras, et je pivotais sur moi-même pour observer celui qui se tenait à mes côtés, et qui lui ne se gênait pas pour le faire depuis un moment, sans doute. « Ne me dis pas que... » Il éclata de rire... à mes dépends. « Tu t'es tapé ta stagiaire ? Sérieusement, Jay, un jour... » « Elle ne l'était pas encore. » Je l'avais coupé avec cette piètre excuse. La stagiaire du cabinet était sexy. Sans doute un peu trop. Mais je ne mentais pas, elle ne l'était pas encore lorsque j'avais couché avec elle. La nuance ne tenait qu'à cela, et nous savions tous les deux que, sans doute, cela n'aurait faire aucune différence si je l'avais réellement désirée et qu'elle avait été sensible à mon charme. Je cumulais sans doute un peu trop les histoires sans lendemain, à tel point que je ne me rappelais pas la dernière fois où j'avais ramené une fille, deux fois de suite, à un repas avec ma famille. Je ne savais même pas s'il y avait eu une première fois, pour tout avouer. Enfin, à l'exception d'amie, mais c'était différent, bien sûr. Josh en saurait peut-être plus que moi, mais j'avouais que je m'en fichais complètement. Je ne ressemblais pas à mon frère jumeau sur ce point. Enfin, jumeau, nous l'étions de ventre et de grossesse, mais notre ressemblance n'était pas plus flagrante qu'entre deux frères lambda. Contrairement à notre complicité, qui même si nous étions différents, nous permettait de rester proches, complices. Nous surprenions parfois notre entourage à nous comprendre d'un simple regard, en parvenant à terminer les phrases de l'autre. L'explication la plus probable serait d'affirmer que nous avions passer trop de temps ensemble, et que nous savions comment l'autre fonctionnait. Mais honnêtement, pour ça aussi, je n'avais pas besoin de précision. Il était mon frère, le membre de notre fratrie dont j'étais le plus proche.

« Tu crois qu'elle a compris que ça signifie que vous ne remettrez pas le couvert, et que tu ne lui feras pas de traitement de faveur ? » m'interpela mon ami rival, qui semblait s'amuser follement de cette situation. Peut-être qu'il vivait à travers moi, puisque lui aussi, tout comme mon jumeau, était à présent casé. Sauf que lui avait déjà sauté le pas du mariage. Josh... disons que sa vie était compliquée et que je n'avais pas réellement envie de spéculer sur son existence. « Si ce n'est pas le cas, c'est qu'elle ne mérite pas son stage. » Je venais de conclure sans appel, tandis que je jetais un coup d’œil à ma montre pour vérifier l'heure qu'il était. Ce soir, je n'allais sauver personne des flammes. Ce soir, je n'étais pas de permanence dans mon second job et ça m'allait tout aussi bien. Plaider me bouffait les nerfs, et c'était d'un autre passe-temps dont je rêvais. Pas d'une nouvelle fille à étendre, mais de quelques plats japonais et de ma guitare. Petite soirée paisible dans ma vie que l'on jugeait si facilement de débauchée. J'aimais vivre, et je n'avais personne pour me le reprocher, alors pourquoi m'en priver ? Maman Vanderwood me bassinerait déjà suffisamment sur l'absence de petits enfants et de fiancée durable qui me garderait sur le droit chemin au prochain repas de famille... Je crois que le plus amusant dans le fait de ramener une fille différente à chaque fois, c'est de la voir s'étouffer, parfois, devant la fille choisie pour l'évènement. Elle avait compris que je jouais, mon père... s'il l'avait saisi, s'en agaçait très facilement. Quand à ma petite sœur, elle y voyait presque l'occasion de faire des paris quant à savoir quel nouveau numéro je ramènerais à la maison.