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 Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.

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Denytza Caldwell

Denytza Caldwell
est un nouvel habitant

Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. Tumblr_n136hz5eFt1rrh68eo1_500 welcome to the city : 11/04/2016
dialogues : 58
âge irl : 25
crédits : WILD HEART.
études / métier : Etudiante en médecine
plutôt famille ou amis : Les deux ! Pourquoi s'embêter à choisir ?

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MessageSujet: Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.   Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. EmptyMar 12 Avr - 22:14

La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.
Julian & Denytza

C’était une journée de travail comme les autres qui était en train de se dérouler. Enfin, aucune journée ne se ressemblait, puisqu’aucun patient ne se ressemblait, mais il n’en demeurait pas moins que c’était une journée de travail qui s’était commencé tôt le matin et qui allait terminer tard le soir. Je faisais mon boulot d’interne comme à mon habitude, essayant d’être une élève exemplaire comme toujours. Je me rendais là où on me disait d’aller, je répondais brillamment à certaines questions, je choisissais des bons traitements et je prodiguais les soins qu’on me disait de donner. Ce jour-là, j’étais même convié au bloc opératoire, j’étais tout excitée, car c’était assez rare pour moi. Même si je désirais devenir chirurgienne, j’avais encore un long chemin à parcourir avant d’opérer moi-même. Pourtant, je ne pouvais m’empêcher d’attendre ce moment avec impatience. Bref, tout allait bien dans le meilleur des mondes en cette belle journée. Ou du moins… Jusqu’à cet instant. Monsieur Robinson venait de mourir. Voilà, ça c’était le plus dur dans ce métier. Perdre un patient était pourtant courant, mais cela ne rendait tout de même pas la chose plus facile à vivre, car on finissait toujours par s’attacher aux gens. Cette fois, je tentais tant bien que mal de ne pas trop me casser la tête, de ne pas trop y penser, parce que je ne voulais pas faire comme précédemment et paraître faible. Oui, il m’était déjà arrivé de m’effondrer à la mort d’une personne malade, mais depuis j’essayais de relativiser. Après tout, c’était inévitable qu’une personne meurt dans ce genre d’endroit, dans un hôpital. Pourtant, je savais que je serais incapable de m’y faire un jour. Je savais qu’à chaque fois que je perdrais un patient, que je ne parviendrais pas à le sauver, je serais touchée peut-être pas anéantie comme maintenant, mais tout de même touchée. Car après tout, j’allais bien finir par m’y habituer un minimum. Je savais que je n’arrivais pas à mettre une certaine distance entre moi et mes patients, mais dans le fond, je ne le voulais même pas. J’en voyais trop des médecins froids qui considéraient leurs patients comme des bouts de chair fraiche, sans aucune émotion. Je n’étais pas ainsi et je ne voulais jamais le devenir. Considérer les êtres que je soignais comme de simples machines à remettre en route ? C’était au-dessus de mes forces. Ainsi donc, lorsque je me rendis compte que l’électrocardiogramme de monsieur Robinson était plat, je sentis les larmes me monter aux yeux. Je connaissais la procédure par cœur. Prévenir le médecin de service, préparer les formulaires à remplir, contacter les proches… Une procédure parsemée de longues conversations avec la famille, de larmes et de douleur. J’appelais donc le médecin confirmé en charge du mort, ce dernier était occupé dans la chambre d’en face. Lorsqu’il vit mon visage, il se hâta de sortir en s’excusant. « Qu’est-ce qu’il y a ? » « Monsieur Robinson vient de mourir. » « Rien d’étonnant au vu de son état d’hier soir. Bien, prévenez la famille, je m’occupe de remplir les documents. Pfff… J’avais bien besoin de ça aujourd’hui… » Sur ce, il repartit en soupirant. Non, vraiment, je ne voulais en aucune façon devenir comme lui, insensible. Et pourtant, peut-être en serais-je un jour obligé. Je soupirais et me dirigeais vers la salle de repos des infirmières, prenant le téléphone qui s’y trouvait et commençant à contacter la famille dont je disposais des coordonnées. « Bonjour. Ici hôpital de San Francisco. J’ai l’immense regret de vous annoncer le décès de votre père… » La phrase était toujours la même avec des variantes pour le frère, la sœur, l’épouse… Une fois ma tâche terminée, je décidais d’aller prendre une petite pause bien méritée. J’avais bien besoin d’un café. Je mis au courant mes collègues et montais à l’étage où se trouvaient l’espèce de machine et la salle de repos. J’étais en train de mettre du sucre dans ma boisson chaude lorsque j’entendis la voix Julian Scott, me retournant je lui glissais un petit sourire un peu gâché par la fatigue qui marquait mon visage. « Salut ! Comment ça va ? » Lâchais-je en essayant de paraître en forme.

Emi Burton
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Julian Scott

Julian Scott
est un nouvel habitant

Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. M4fz welcome to the city : 11/04/2016
dialogues : 41
crédits : tumblr
études / métier : Chirurgien urgentiste
plutôt famille ou amis : amigos

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MessageSujet: Re: Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.   Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène. EmptyMer 13 Avr - 12:35

La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.

Denytza & Julian
 

Encore un journée de plus à opérer et soigner des patients, c'est ce qu'il aime après tout. Pouvoir rendre "la vie" si on peut dire aux personnes qui ont besoin de se faire opérer. Il avait encore fait une nuit de garde à l'hôpital et il enchainait toute la journée. Autant dire que c'était une période assez éprouvante pour lui, mais il savait comment gérer la fatigue. Il pouvait même rester debout plus de 48h car il s'était adapté à ce rythme infernal qu'étaient les urgences qui fait qu'il a plusieurs patients à opérer chaque jour. Ce matin, comme tous les matins, il faisait les post-ops des patients qu'il avait opérer la veille, avec un groupe d'internes. Il rentre dans une pièce tout en saluant la personne allongée sur le lit, et il demande à ses internet de décrire l'opérer qu'il a pratiqué, les complications, et tout ce qu'ils vont devoir surveiller à l'avenir. Il était toujours doué pour faire de l'enseignement. Il adorait ça, et il laissait souvent ses élèves pratiquer des petites opérations quand ils étaient au bloc. Pouvoir enseigner aux internes ce qu'il sait et ce qu'il a apprit depuis qu'il bosse en tant que chirurgien titulaire, c'est le pied. Il aime formé les médecins de demain.
Après avoir fait le tour de ses patients, il file à la cafétéria pour déjeuner avec ses collègues. Ils parlent un peu ensemble, toujours à se raconter leurs opérations, mais aussi leurs histoires de culs. L'hôpital étant l'endroit où les titulaires passent le plus clair de leur temps, ils s'envoient en l'air l'un avec les autres. C'est inévitable, vu que c'est un peu le lieu de rencontre. Ils bossent là presque tous les jours, c'est compliqué de rencontrer des personnes en dehors de l'hôpital. Puis, infirmière, internes, chirurgien.. Ils ont de quoi faire ici. Quoi que Julian n'était pas vraiment du genre à se taper les internes. Quand même, faut pas abuser. Il a plus ou moins 10 ans de plus que tous ses petits jeunes qui veulent apprendre, ce serait abuser d'eux. Même si ils ont l'air plutôt partant, ils n'oseraient peut-être pas dire non à leurs titulaires, qui sont aussi leurs professeurs. Mais il n'hésitait pas à se taper ses belles collègues, et il est même réputé comme étant un des meilleurs coups de l'hôpital :p D'ailleurs après avoir prit son déjeuné, il s'éclipse avec une charmante infirmière en salle de garde pour s'envoyer en l'air. Après avoir passé un très bon moment et s'être un peu reboosté pour la journée, il file se prendre un café afin de s'attaquer à tout le travail qu'il va devoir faire. En rentrant, il se tourne vers la jolie interne qui lui demande si ça va. Il sourit un peu en la saluant, il avait pu bosser avec elle la semaine dernière. Mais il fut quand même surpris qu'elle se montre autant familière avec lui, après tout c'est son titulaire :p mais il ne fait pas trop de commentaires, il trouve ça amusant plutôt. S'approche d'elle pour se poser contre la machine à café. Il hoche juste sa bouille à sa réponse, et la regarde un peu. « Vous par contre, vous avez l'air fatiguée...  » La fatigue pouvait se lire clairement sur son visage, même si elle essayait de le cacher.




By Phantasmagoria

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Julian - La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.
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